Le magazine Marie Claire a récemment publié un article sur "l'avenir au féminin" rendu possible par la formation d'ingénieur dans l'agriculture et l'alimentaire proposée à l'École d'Ingénieurs de PURPAN.

Anne RICHARD (66e), Camille TRICOIRE (88e), Audrey BEYER (99e) et Claire SABY (née BOULANGER) (87e) ont raconté leur parcours inspirant respectif de femmes ingénieures issues de PURPAN. Plusieurs postes de directrice pour l'une, un accomplissement à l'international pour une autre, ou encore une carrière propulsée par l'apprentissage pour Audrey, et enfin de nombreuses expériences au contact des acteurs des filières agricoles et alimentaires pour Claire : découvrez leurs mini-portraits professionnels !

À l'École d’Ingénieurs de PURPAN, l'avenir est au féminin. Découvrez les parcours inspirants de femmes ingénieures qui ont réussi, grâce à leur adaptabilité, à leur ouverture d'esprit, et à une éducation axée sur la compréhension et la collaboration.

S'accomplir dans des carrières très diverses, à responsabilité, tant au niveau national qu’à l’international, c’est ce qu’offre la formation d’ingénieurs de PURPAN. Celle-ci prépare à plus de 300 métiers sur le premier secteur d’emplois en France dans les sciences du vivant, l’agriculture, l’agroalimentaire, l’environnement. Et toutes les femmes y ont leur place.

J’ai adoré tous les postes à responsabilités que j’ai occupés dans le domaine du monde du vivant : dans la viticulture ; dans les produits laitiers, à la direction de l’interprofession du Roquefort en Aveyron, au Conseil national des appellations d’origine laitières et au Centre national interprofessionnel de l'économie laitière ; au sein de l'Institut technique des filières avicole cunicole et piscicole où j’ai participé à la création de l’Interprofession de la volaille de chair ; et aujourd’hui en tant que directrice de l’Interprofession nationale porcine. Ce qui m’a permis de me réaliser dans tous ces postes ? Une adaptabilité incroyable acquise à Purpan, qui nous apprend à être « tout-terrain » et à savoir gérer des situations complexes. L’école nous offre aussi une très grande ouverture d’esprit, grâce à la très grande variété de cours, et sur le monde du travail grâce aux stages. Quand j’ai pris mon premier poste de direction à 27 ans, je ne manageais que des hommes. Être une femme ingénieur dans ce domaine n’empêche pas de choisir sa carrière !